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Profs d'Histoire lycée Claude Lebois
17 septembre 2018

Jules Reymond

Les 51 anciens élèves de l'École pratique de Saint-Chamond, morts pour la France 

 

 

 

Jules  REYMOND

mort pour la France

 

 

Reymond Jules fiche MPLF

 

Jules Reymond est né le 2 octobre 1887 à Saint-Jean-Bonnefonds, dans la Loire, entre Saint-Chamond et Saint-Étienne.

Il est mort le 11 avril 1915 en Meurthe-et-Moselle.

 

 

 

 

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16 septembre 2018

Henri Seytre

Les 51 anciens élèves de l'École pratique de Saint-Chamond, morts pour la France

 

 

 

Henri SEYTRE

mort pour la France

 

Seytre Henri fiche MPLF

 

Henri Claudius Seytre est né le 17 octobre 1891 à Izieux, à côté de Saint-Chamond.

Il est mort le 30 octobre 1918 dans l'Aisne.

 

tombe familiale Seytre
tombe familiale d'Henri Seytre au cimetière de Saint-Chamond
(photo 9 mars 2014)

 

nom d'Henri Seytre sur tombe
Henri Seytre (1891-1918), mort pour la France, dans l'Aisne

 

 

 

 

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15 septembre 2018

Émile Stoeckel

Les 51 anciens élèves de l'École pratique de Saint-Chamond, morts pour la France

 

 

 

Émile STOECKEL

mort pour la France

 

Stoeckel Paul Émile fiche MPLF

 

Paul Émille Stoeckel est né le 9 novembre 1889 à Latilleu dans l'Ardèche.

Il ets mort le 9 octobre 1914 dans la Somme.

 

 

 

 

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13 septembre 2018

Wilfrid Vigouroux

Les 51 anciens élèves de l'École pratique de Saint-Chamond, morts pour la France

 

 

 

Wilfrid VIGOUROUX

mort pour la France

 

Vigouroux Jean

 

Wilfrid Jean Vigouroux est né le 23 février 1893 à Leigneux dans la Loire.

Caporal au 158e Régiment d'Infanterie.

Décédé le 15 mai 1915 à Noulette dans le Pas-de-Calais.

 

 

 

 

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12 septembre 2018

Claudius Vincent

Les 51 anciens élèves de l'École pratique de Saint-Chamond, morts pour la France

 

 

 

Claudius VINCENT

mort pour la France

 

 

Vincent Claudius MPLF

Claudius Vincent est né le 11 décembre 1894 à Saint-Haon-le-Vieux (Loire).

Il est mort le 7 juillet 1916 dans la Somme

 

 

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11 septembre 2018

André Marcellin

Les 51 anciens élèves de l'École pratique de Saint-Chamond, morts pour la France

 

 

 

André MARCELLIN

mort pour la France

 

Marcellin André MPLF

 

André Louis Marcellin est né le 28 septembre 1888 à Firminy dans la Loire.

Il était sergent au 12e Bataillon de Chasseurs à pied.

André  Marcellin est décédé le 1er août 1915 à Barenkopf (ou Barrenkopf, ou Baerenkopf) dans le massif de l'Hartmanswillerkopf, commune de Masevaux, dans le Haut-Rhin (Alsace).

 

Un extrait de l'Historique résumé du 12 Bataillon de Chasseurs alpins (1920) permet d'imlaginer dans quelles conditions André Marcellin a trouvé la mort dans la bataille du Barrenkopf qui s'est déroulée à la fin juillet et au début du mois d'août 1915 :

- "La préparation de l'attaque de l'Eïchwald avait été faite minutieusement et dans des conditions très pénibles, car les Allemands nous dominaient. Le bataillon y perdait 80 hommes.
Relevé le 30 juillet sur ces positions, il relève, à son tour, le 11e bataillon, le lendemain, dans ses tranchées de départ devant le Barrenkopf. L'ordre d'attaque est donné pour le lendemain. Pendant notre préparation d'artillerie, le bataillon est soumis à un tir violent de l'ennemi.
À 7 heures du soir, dans un élan magnifique, aux accents de La Marseillaise, le bataillon part à l'attaque et s'empare de l'objectif, malgré de très nombreuses pertes causées par les blockhaus de mitrailleuses laissés intacts, et malgré un barrage intense d'artillerie et de mitrailleuses.
Le capitaine Thierry, commandant le bataillon, est blessé au début du combat ; le capitaine Carbillet est mortellement blessé sur cette position du Barrenkopf, qu'il avait défendu aussi héroïquement sept mois plus tôt.
Le capitaine Lafouillade prend alors le commandement du bataillon. Pendant trois nuits consécutives, le bataillon repousse toutes les attaques acharnées des Allemands
Entre ces combats, il retourne la tranchée prise et organise la position. La situation du bataillon est rendue très pénible, car tout le terrain d'attaque est un véritable charnier et la chaleur est torride.
Au bout de douze jours, le bataillon est relevé pour prendre quelques jours de repos au camp d'Haeslen. À 2 lieues en arrière.
Le commandant Ardisson, désigné pour prendre le commandement du bataillon, était arrivé le 6 [août]. Une prise d'armes a lieu sous ses ordres dans le camp d'Haeslen. C'est la première fois que le bataillon est réuni en entier depuis son départ d'Embrun. Le général de Pouydraguin vient le féliciter du brillant succès qu'il vient de remporter."

source

 

liens

- le site magnifique de pierreswesternfront sur les batailles du secteur Kleinkopf-Barrenkopf

- vestiges de la Grande Guerre au Barrenkopf (vidéo)

 

 

 

 

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10 septembre 2018

Pierre Reynaud

Les 51 anciens élèves de l'École pratique de Saint-Chamond, morts pour la France

 

 

 

Pierre REYNAUD

mort pour la France

 

Pierre Reyaud fiche Mémoire des Hommes

 

Passementier de profession, Pierre Antoine Reynaud a pour père, Claude Marie Félix Reynaud et pour mère, Antoinette née Peyrard.

De taille plutôt grande pour l'époque, 1m73, il a les cheveux et les yeux de couleur châtain. Il habite 13, rue (?) du Châtelard et est célibataire lors de son recensement en 1911. On note qu'il est vélocipédiste.

que faisait-il  à la guerre ?

Pierre Reynaud (parfois écrit Raynaud), ancien élève du Collège Pratique d'industrie de Saint-Chamond, servait, comme maître pointeur brigadier, affecté à la 46e batterie du 263e Régiment d'artillerie de campagne.

Vraisemblablement donc, il s'occupait d'un canon de 75 mm pour en régler les coordonnées de tir sur le disque de niveau de la pièce d'artillerie. Références techniques 1 et 2.

En principe, un régiment d'artillerie de campagne (36 canons) comprend trois groupes comptant chacun trois batteries de quatre canons chacune. Donc Pierre Reynaud s'occupait d'un des quatre canons de sa batterie.

Diapositive1
carte postale d'avant 1914 montrant une pièce de 75 et ses servants ;
Pierre Reynaud était pointeur, plaçant la direction et l'angle de tir sur l'appareil de pointage

 

comment est-il mort à la guerre ?

Les derniers de son existence correspondent à cet extrait de l'Historique du 263e Régiment d'Artillerie de campagne (1992) :

"Pendant la fin d'août et en septembre, le régiment prend part à diverses opérations locales. Après un repos de quinze jours dans la région sud de Dunkerque, il rentre en ligne pour appuyer, les 12 et 13 octobre [1917], les attaques de la 133e Division [en Flandre belge]. Les groupes sont, à cet effet, mis en position près de Boesinghe, d'Hetsas et de la maison du Passeur. Puis le 3e groupe relève un groupe du 215e.
Les avances récentes permettent d'envoyer le 2e groupe près du hameau de Weidendreft [aujourd'hui commune de Langemark-Poelkapelle, en Belgique, au nord-est de Ypres], au bord du ruisseau du Steenbeck. De là, il sera en mesure de fournir de flanc des feux particulièrement efficaces. Malheureusement, la position est à peine masquée. À deux reprises, la 44e [batterie] est bouleversée de fond en comble, ses canons enterrés et détruits, ses munitions incendiées. La 45e, d'un seul obus ennemi, perd tous ses officiers, un sous-officier et six hommes. La 46e, en moins de deux jours, a la moitié de son personnel hors de combat ; le peloton de sa deuxième pièce en entier tombe au champ d'honneur." (source)

Cette "deuxième pièce" dont parle l'auteur de cet Historique est, presque certainement, celle dont faisait partie Pierre Reynaud.

En effet, la liste des victimes de ce régiment mentionne plusieurs décès à la date du 25 octobre 1917 : Louis Vergnaud, maréchal-des-Logis ; Jean Chaput, cannonier servant ; Claude Damos, canonnier servant 2e classe ; Augustin-Jean Fouchet, cannonier servant 2e classe ; Henri Rebeix, canonnier servant 2e classe.

 

carte Ypres et environs
au nord-nord-est d'Ypres, la localité de Langemark dans les environs de laquelle est
mortellement blessé Pierre Reynaud le 25 octobre 1917


Diapositive1
mouvement et position de l'unité de Pierre Reynaud à la mi-octobre 1917 ;
sa batterie, à découvert, est rapidement hors de combat avec plusieurs morts le même jour

 

Langemark destructions
destructions à Langemark pendant la guerre de 1914-1918

Boezinge 1918
d'où est parti Pierre Reynaud, quelques jours avant sa mort (photo de 1918)

 

 

 

 

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9 septembre 2018

Pierre Fontvieille

Les 51 anciens élèves de l'École pratique de Saint-Chamond, morts pour la France

 

 

 

Pierre FONTVIEILLE

mort pour la France

 

 

Fontvieille Pierre fiche MPLF

 

Pierre Antoine Fontvieille est né le 6 juin 1897 à Saint-Martin-en-Coailleux.

Il est mort le 14 septembre 1918 dans l'Aisne.

 

 

 

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8 septembre 2018

Marius Porte

Les 51 anciens élèves de l'École pratique de Saint-Chamond, morts pour la France

 

 

 

Marius PORTE

mort pour la France

 

Porte Marius fiche MPLF

 

Marius Baptiste Porte est né le 5 juillet 1887 à Genève (Suisse).

Il appartenait au 1er Régiment d'Infanterie coloniale.

Il a trouvé la mort le 16 décembre 1914 dans la Marne.

 

76656348_o
la tombe de Marius Porte dans le cimetière de Saint-Chamond (mai 2012)

 

croix Marius Porte
Marius Porte (Saint-Chamond), mort à Servon le 16 décembre 1914

 

 

 

 

 

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7 septembre 2018

Marcel Vacher

Les 51 anciens élèves de l'École pratique de Saint-Chamond, morts pour la France

 

 

 

Marcel VACHER

mort pour la France

 

Vacher Marcel 1899 MPLF

 

Marcel Jacques Vacher est né le 16 janvier 1899 à Saint-Chamond.

Ses parents habitaient Saint-Julien-en-Jarez (Loire), dans la Grande Rue. Sa mère y tenait un café.

 

St-Julien Grande Rue cpa 1
la Grande Rue à Saint-Julien-en-Jarez, avant 1914

 

St-Julien Grande Rue écrite en 1911
Saint-Julien-en-Jarez, Grande Rue, carte postale ancienne écrite en 1911

 

St-Julien Grande Rue cpa 2
Grande Rue de Saint-Julien-en-Jarez, avant 1914

 

Engagé pour la durée de la guerre, le 16 avril 1916 à Saint-Chamond. Il a 17 ans et trois mois.

Mort le 2 août 1917.

extrait fiche matricule

 

 

 

 

 

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